«Je rappelle que nous devons trouver une solution pour notre caisse de pension, pour laquelle il faudra 2 à 3 milliards. Or, nous ne pouvons pas à la fois assainir celle-ci et acheter des trains. Pour la caisse de pension, nous avons besoin de l’aide de la Confédération. Elle a l’obligation morale et juridique d’assainir la charge que représentent les rentiers des CFF, comme cela a été fait pour ceux de Swisscom. Nous avons fait nos calculs: si la Confédération n’apporte pas sa part à l’assainissement, il faudra augmenter les cotisations des assurés entre 4,5 à 6% pendant dix ans pour combler le trou. C’est impensable», Andreas Meyer, CFF, dans «le Temps».

Le Temps – Suisse