Les actionnaires suisses éventuellement intéressés à ce que des poursuites civiles s’engagent ­contre Marcel Ospel et ses anciens collaborateurs n’ont pas encore arrêté leurs positions. «Nous n’avons pas encore discuté de la question de savoir si nous allons nous associer à une procédure», explique un porte-parole de Swisscanto (0,43% du capital), dont le représentant a voté contre la décharge. La Caisse de pension de l’Etat de Vaud, qui a fait de même, ou celle de La Poste, qui «ne dévoile pas ses votes individuels mais suit d’ordinaire les recommandations de la Fondation Ethos», expriment la même indécision.

Le Temps