Invoquant l’accroissement de notre espérance de vie, des voix s’élèvent pour réclamer un abaissement des taux de conversion. Or il suffit d’une brève rétrospective pour révéler une image surprenante et justifier un ajustement à la hausse, d’autant plus si les caisses de pension entendent affirmer leur raison d’être.

LeTemps