L’an prochain, la rémunération minimale des avoirs vieillesse liés à la part obligatoire de la prévoyance professionnelle subira probablement une baisse. André Reuse, de LPP Gestion SA, propose même sa suppression.
Tribune de Genève: Comment justifier la fin d’une rémunération minimale?
Reuse: Si je recommande la suppression d’un minimum légal, cela ne signifie pas qu’il ne faut pas rémunérer les avoirs vieillesse. Au contraire! En allégeant les contraintes imposées aux gestionnaires d’actifs, leurs performances seront optimisées d’office. Du coup, les rémunérations s’avéreront nettement supérieures à tous les minima légaux. D’autant plus que le 0% renforcera la concurrence entre les assurances. Commercialement elles ne pourront plus se référer à un quelconque minimum légal.