Pourquoi ne pas réfléchir en termes de diversité des générations plutôt qu’en participation d’un groupe d’âge? Lors des séances, pourquoi ne pas accorder un temps de parole identique aux représentants de chaque génération? Est-ce que les blocages seraient moindres si les conseillers fédéraux n’étaient pas quasi tous du même âge? Ce type de recommandations indique que le défi démographique n’est plus tabou. Lors des premières publications sur le sujet, il y a cinq ans, il en allait tout autrement, déclare Thomas Held, directeur d’Avenir Suisse, lors d’un séminaire à Zurich.