(Texte traduit automatiquement du message «Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les plans 1e». Nous sommes ici encore en phase de test. Si vous découvrez des erreurs graves, nous vous serions reconnaissants de nous en informer.
Peter Wirth,
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pw. Le dernier dialogue IZS était consacré aux plans 1e. Les intervenants étaient Simon Tellenbach (VZ Zentrum) et Lukas Riesen (PPCmetrics). Tellenbach a présenté les bases, le développement et l’état actuel des choses ; Riesen a parlé des avantages et des inconvénients. La caractéristique fondamentale des plans est leur simplicité : pas de taux de conversion, pas de taux d’intérêt minimal, pas de redistribution, pas de garanties – tout ce qui rend le 2e pilier si lourd et compliqué est ici absent. En revanche, les utilisateurs (on peut difficilement parler d’assurés) ont une grande liberté dans le choix de leurs stratégies de placement.

Comme on le sait, ils ne sont accessibles qu’aux bénéficiaires d’un revenu supérieur à 132 000 francs, soit une minorité. Selon les données de l’OFAS, il s’agit d’environ 305’000 bénéficiaires de la LPP, dont 42’000 ont actuellement des plans 1e, ce qui est encore un petit nombre. Leur fortune épargnée de 8 milliards de francs est également modeste comparée aux 1,2 billion de francs que compte désormais le 2e pilier. Cela s’explique aussi par le fait que de nombreux plans n’existent que depuis peu de temps et qu’ils n’ont donc pas encore pu être épargnés. Selon Tellenbach, les caisses de pension propres aux entreprises et les 16 fondations collectives qui les proposent en représentent chacune la moitié.

D’autres détails dans les explications de Tellenbach se référaient à la fondation 1e de VZ. Il s’avère que la majorité des destinataires choisissent une part d’actions élevée, en moyenne un peu plus de 50 pour cent. La gestion de la fortune est plus complexe, c’est-à-dire plus chère que dans la prévoyance normale en raison de la flexibilité. Elle s’élève à 60 points de base, contre 56 pour la prévoyance de base. En revanche, la prime de risque est moins élevée. Les personnes appartenant à la catégorie de revenus concernée sont moins exposées aux accidents et leur espérance de vie est plus longue, mais le risque de longévité est inexistant en raison du versement du capital.

Ces aspects structurels et techniques ont été complétés par Lukas Riesen qui a présenté les avantages et les inconvénients sous différents angles. L’introduction d’un plan 1e a des conséquences non seulement pour les assurés de la caisse (ceux avec et sans plan 1e), mais aussi pour la caisse elle-même et l’employeur. Les plans ne connaissent pas de garantie de valeur nominale et ne comptent que des assurés actifs. En revanche, le taux de couverture est toujours de 100 % et il n’est pas nécessaire de constituer des réserves pour fluctuation de valeur.

Pour les personnes concernées, il est positif qu’il n’y ait pas de subventionnement croisé (redistribution), que les préférences personnelles en matière de risque puissent être mises en œuvre et que l’on participe directement au rendement obtenu.

Sur la liste des points négatifs, on trouve le fait que le retrait du capital peut entraîner une réduction des prestations et qu’il existe un risque de mauvais timing. La motion Dittli, adoptée par les Chambres, devrait atténuer ce problème. Riesen a également mentionné qu’en cas de changement, il est possible (voire probable) que le nouvel employeur ne connaisse pas les plans 1e dans sa prévoyance. On se souvient ici de la situation lors du rachat du CS par l’UBS.
L’employeur profite du fait que les plans sont considérés comme des defined contribution schemes, ce qui a un effet positif sur la présentation des comptes. Quant à savoir si les assurés trouvent l’offre attrayante – ce que Riesen compte également parmi les points positifs -, cela peut être discuté.

En ce qui concerne la caisse, il faut mentionner qu’elle perd du substrat d’assainissement et que sa capacité de risque structurelle diminue éventuellement. D’un autre côté, les pertes liées à la retraite disparaissent, ce qui peut toutefois aussi être obtenu en fixant des conditions pour le versement d’un capital.

L’évaluation du changement lors de l’introduction d’un plan 1e n’est pas encore définitivement clarifiée. S’il s’agit d’une liquidation partielle, cela devrait se faire, selon Riesen, sur la base d’une évaluation économique des rentes dans la caisse de base. Une communication récemment envoyée en audition par la CHS traite des aspects liés au transfert des avoirs.

La manifestation hautement instructive de l’IZS sera rediffusée en ligne le 17 janvier. Inscription

  Motion Dittli / Audition Communication de la CHS