Actares et son alter ego belge Deminor, qui cherchent depuis l’été à réunir un nombre suffisant d’actionnaires pour lancer une procédure, ont fait chou blanc. Outre une centaine de petits investisseurs, dont les 7 millions de francs évaporés ne sont qu’une goutte d’eau dans les milliards perdus dans l’affaire, les deux organismes n’ont trouvé aucun soutien de poids. Aucun fonds d’investissement, pas une seule caisse de pension lésée par l’effondrement de la banque n’a suivi l’initiative.

 Le Temps