Grenzgängerinfo 15
Die Grenzgängerinformation Nr. 15 (31.10.2011) befasst sich mit der rechtlichen und politischen Entwicklung bei der Behandlung der schweizerischen beruflichen Vorsorge durch die deutschen Fiskalbehörden. U.a. wird festgehalten: “Nachdem zu den Hauptstreitpunkten „Beiträge zur Schweizer Pensionskasse“ und „Bezüge aus dem Schweizer Pensionskassensystem“ Revisionsverfahren beim Bundesfinanzhof anhängig sind, liegen die Voraussetzungen vor, dass einschlägige Verfahren (Einspruchs- und Finanzgerichtsverfahren) „ruhen“ können. Unter Berufung auf die Gerichtsverfahren und das ergangene Urteil zur dänischen 2. Säule der Altersvorsorge kann daher bezüglich der Besteuerung von Pensionskassenbeiträgen und –bezügen Einspruch eingelegt werden, verbunden mit dem Antrag auf ein „Ruhen des Verfahrens“.
Das Ergebnis einer Besprechung von CDU-Bundestagsabgeordneten mit hochrangigen Vertretern des Bundesfinanzministeriums kann dahingehend zusammengefasst werden: Es bedarf weiterer Argumentationshilfe der IG Pensionskasse für die Politiker, damit die Steuerverwaltung von ihren (zwischenzeitlich in neuen von der Oberfinanzdirektion Karlsruhe im August 2011 veröffentlichten Verfügungen) wiederholten unzutreffenden Ausführungen zum Schweizer Pensionskassensystem vor höchstrichterlichen Entscheidungen abrückt.”
Armin Schuster, Bundestagsabgeordneter aus Lörrach, hält an der Doppelstrategie fest, in Zusammenarbeit mit der IG Pensionskasse einerseits im politischen Berlin auf praktikable Lösungen zu drängen. Andererseits sollen auch die Schweizer Regierungsvertreter für das Thema sensibilisiert werden, da eine Lösung auch im Interesse der Schweiz ist. So übergab Schuster am Rande eines Fachgesprächs über das Doppelbesteuerungsabkommen am 22. Juni 2011 dem schweizerischen Botschafter Christoph Schelling, Staatssekretär für internationale Finanzfragen, ein Vorschlagspapier der IG Pensionskasse. Dieser zeigte sich ebenso interessiert an einer Lösung des Problems wie Peter Maurer, Staatssekretär im Eidgenössischen Departement für auswärtige Angelegenheiten (EDA), den Schuster am 4. Juli 2011 auf Schloss Beuggen/Rheinfelden traf. 2012 anstehende Nachverhandlungen des Doppelbesteuerungsabkommens zwischen Deutschland und der Schweiz könnten Bewegung in die Sache bringen. Die IG Pensionskasse erarbeitet aktuell ein fundiertes Dossier mit konkreten Lösungsvorschlägen, das Schuster im Herbst 2011 dem Bundesfinanzministerium übergeben wird.”
ASIP mit überarbeiteter Charta
Der Schweizerische Pensionskassenverband ASIP hat seine Charta zur Pension Fund Governance vom 6. Mai 2008 aufgrund der neuen Anforderungen durch die Strukturreform überarbeitet, das gleiche gilt für die dazugehörige Fachrichtlinie. Die Fachrichtlinie konkretisiert die Charta und definiert Verhaltensregeln für die PK-Verantwortlichen. Sie gilt für alle Pensionskassen, die Mitglied des ASIP sind. Charta und Fachrichtlinie können von der Website des ASIP herunter geladen werden.
Comment gérer l’allocation d’un portefeuille lors de la survenance de risques extrêmes?
La succession de crises observées sur les marchés financiers au cours de cette dernière décennie soulève de nombreuses questions parmi les investisseurs quant à la formule la plus adéquate pour piloter l’allocation de leur portefeuille. Les investisseurs sont à la recherche de la solution miracle qui leur permettra d’identifier correctement et surtout à temps les changements de tendance des marchés et ainsi de modifier l’allocation de leur portefeuille de manière à éviter ou du moins réduire les pertes.
«Aucun produit ne peut garantir 4% par an»
Syz gère un milliard de francs en stratégies «absolute return» dont l’objectif est Libor +2%, avec une forte limitation des risques. Dans une interview avec Le Tmps, Jérôme Schupp, responsable de la recherche de Syz Asset Management, s’exprime sur les défis des caisses de pension.
“La priorité aux coûts n’améliore pas les rentes”
Martin Gubler, président de la direction de Zurich Invest, recommande aux institutions de placer environ 15% dans les placements alternatifs, sous forme de hedge funds, private equity, infrastructures et matières premières. Vita a placé 10% en hedge funds.
Zurich Vie Suisse a la particularité d’avoir sorti les activités de prévoyance professionnelle de son bilan pour les transférer à la fondation collective Vita, (plus de 17 000 entreprises affiliées et 8 milliards d’actifs sous gestion) afin que les assurés reçoivent la totalité des rendements générés par les placements. Sept de ces huit milliards sont gérés par la Zurich Fondation de placement par Zurich Invest SA, une filiale à 100% du Zurich Suisse gérant les actifs tiers (12 milliards) et placée sous la surveillance de la Finma. Son bénéfice n’est pas publié, il est intégré dans celui de Zurich Vie Suisse dont le résultat net s’élève à 254 millions de francs en 2010. Elle gère également la caisse de pension des collaborateurs suisses de Zurich, afin d’aligner leurs intérêts avec ceux des clients.
Le Temps: Quelle devrait être la part en alternatifs? Et laquelle est-elle dans la fondation collective Vita?
Gubler: Cela dépend de la structure de la caisse de pension. La Vita a actuellement 10% du portefeuille en hedge funds et son comité d’investissement a décidé d’investir 2 à 3% en private equity ainsi que 2-3% en infrastructures ces prochaines années.
Comment une caisse de pension peut-elle limiter les risques dans la sélection des gérants?
Une caisse de pension devrait tout d’abord définir son allocation, puis ensuite la part de gestion active et passive. La dernière ne constitue pas une panacée.
Par exemple dans les actions suisses, sous l’angle de la gestion de risques, une gestion passive me paraît défavorable, puisque 6 blue chips forment 60% de l’indice. Ou dans les obligations: la crise des Etats périphériques a pénalisé une gestion passive; ce sont les pays les plus endettés qui ont émis le plus d’emprunts.
Concrètement, quelle approche adoptez-vous?
En ce qui concerne Zurich Invest, nous avons décidé de travailler avec les meilleurs gérants, indépendamment de leur position géographique, selon des critères de sélection objectifs et un processus structuré. A titre d’exemple, un de nos gérants avait décidé de gérer notre mandat sur les actions japonaises à partir de Francfort et non plus de Tokyo. Nous nous y sommes opposés et avons lancé notre processus de sélection en 3 étapes. Les candidats répondant à notre appel d’offres sont départagés en évaluant notamment leur performance et leur expérience. Les 10 meilleurs sont soumis à une analyse approfondie, par la suite les trois meilleurs sont invités à Zurich pour faire face à un comité de sélection. Finalement nous nous sommes déplacés à Tokyo pour juger le management, l’équipe et les différents processus (dont la gestion de risque) chez les deux finalistes, ce qui nous a permis de choisir un excellent gérant. Chaque gérant est ensuite placé sous un contrôle pointu et régulier. Et s’il déçoit, il sera placé sous observation puis sera résilié si nécessaire.
Le Temps: “Nouvelles menaces sur les retraites”
La bonne nouvelle d’abord. Le système de retraite suisse demeure l’un des plus solides et appréciés au monde. Il figure au 3e rang du dernier indice mondial des retraites publié par Mercer ce mois-ci. Les Pays-Bas sont en tête, devant l’Australie. Mais les nuages s’accumulent. La Suisse a perdu un rang cette année. La frégate helvétique, un trois-mâts qui faisait récemment la fierté du pays et qui semblait snober les tempêtes, n’a plus la même allure. Les raisons sont à la fois internes et externes.
“Seefeldisierung” und die Pensionskassen
Der Tages-Anzeiger beschreibt den (nicht nur auf das Zürcher Seefeld beschränkten) Prozess der sog. Seefeldisierung, wobei günstiger Wohnraum durch Abriss oder Umbau verloren geht. Am konkreten Beispiel beteiligt ist die PK der Berner Versicherungsgruppe.
Der Rettungsfonds als Sargnagel für den Euro
Nicht die Griechen sind die eigentliche Bedrohung, sondern die Demographie, meint Andreas Beck vom Institut für Vermögensaufbau in der ARD. Um die sinkende Nachfrage nach Staatsanleihen zu ersetzen, werde jetzt wieder ein künstlicher Markt geschaffen – und der Euro geopfert.
AHV-Prognose selbstgemacht
«Prognosen sind schwierig, besonders wenn sie die Zukunft betreffen» spottete einst Winston Churchill. Die sich widersprechenden Aussagen zur zukünftigen Finanzierbarkeit der AHV scheinen dieses Bonmot zu bekräftigen: Vor einigen Monaten machte Avenir Suisse auf die allzu optimistische Sichtweise des Bundesrates bezüglich der Finanzierungsaussichten der 1. Säule aufmerksam. Glaubt man hingegen dem Gewerkschaftsbund, sind die Renten auch ohne politische Eingriffe bis 2040 und vermutlich darüber hinaus gesichert.
Ist die Zukunft der AHV also ebenso schlecht prognostizierbar wie das Wetter in zwei Monaten? Nicht ganz. Im Gegensatz zum Wetter ist die Altersvorsorge kein chaotisches System, sondern mathematisch exakt abhängig von einer überschaubaren Anzahl klar definierter Einflussgrössen. Unterschiedliche Prognosen sind deshalb letztlich immer das Resultat unterschiedlicher Annahmen über die Werte dieser Einflussgrössen.
Ab sofort müssen Sie sich nicht mehr den Kopf über die Herkunft und die allfällige politische Motivation von AHV-Szenarien zerbrechen, schreibt der Versicherungsverband und stellt ein Berchnungstool zum Download bereit, mit dem jedermann eine eigene Prognose erstellen und die entsprechenden Schlüsse daraus ziehen kann.
Bruno Christen geht in Pension
Bruno Christen hat mit einem Email an Freunde und Geschäftspartner seine Pensionierung angekündigt. Nach 37 Jahren bei Ernst&Young stehen jetzt Reisen auf dem Programm. Christen, der auch über mehrere Jahre die verantwortungsvolle (aber hoffentlich nicht allzu aufwendige) Funktion eines Revisors beim Vorsorgeforum innehatte, gehört zu den massgeblichen Figuren auf der sogenannten Kontrollpyramide der beruflichen Vorsorge. Ein letztes Mal engagierte er sich – branchenübergreifend – im Rahmen der Strukturreform für die Belange einer effizienten und sicheren Vorsorge. Die zum Teil abstrusen Ideen, mit denen er sich im Vernehmlassungsverfahren auseinandersetzen musste, entlockten ihm dabei – wohl mit Blick auf absehbare Reisen in die Südsee – bisher eher ungewohnte Züge von Ironie. Jedenfalls schön, dass ihm in den vielen Jahren in einer vorwiegend eher nüchternen Branche der Humor nicht abhanden kam. Wir wünschen Bruno Christen eine schöne Zeit.
Towers Watson: Die Vorsorge der SMI/SLI-Gesellschaften 2010
Towers Watson hat die Daten für die Unternehmen des Swiss Leader Index (SLI) erfasst. Dieser setzt sich zusammen aus den 20 SMI Titeln und den 10 grössten Werten der 30 SMI Mid (Mid Cap) Titel. Er enthält damit die 30 wichtigsten Werte des Schweizer Aktienmarkts und umfasst die bedeutendsten börsenkotierten Unternehmen des Landes. In der Towers Watson-Studie werden die Vorsorgeverpflichtungen sowie die Höhe und Entwicklung des Vorsorgeaufwandes untersucht.
Die ausgewiesenen Vorsorgeverpflichtungen der SMI Gesellschaften blieben gegenüber dem Vorjahr auf praktisch unverändertem Niveau bei CHF 151 Mrd. An der Reihenfolge der fünf SMI Firmen mit den höchsten Vorsorgeverpflichtungen hat sich im Vergleich zum Vorjahr nichts verändert. Es handelt sich um die UBS, Nestlé, Novartis, Credit Suisse und die Zurich Financial Services. Die Vorsorgeverpflichtungen dieser fünf Firmen belaufen sich auf insgesamt ca. CHF 97 Mrd. und machen somit 64 % der Vorsorgeverpflichtungen aller SMI Firmen aus.
Ein Blick auf die verwendeten versicherungstechnischen Annahmen zeigt, dass die durchschnittlich angewendeten Diskontsätze im Vergleich zum Vorjahr nochmals deutlich gesunken sind (von 4.0 % auf 3.6 %). Die Reduktion der Diskontsätze um 0.4 % führt bei einer angenommenen Duration der Vorsorgeverpflichtungen zwischen 10 und 15 Jahren zu einem Anstieg der Vorsorgeverpflichtungen um ca. 4 – 6 % bzw. CHF 6 – 9 Mrd. für die SMI Firmen (CHF 6.5 – 9.5 Mrd. für die SLI Gesellschaften).
Da die Planvermögen im Jahr 2010 etwas stärker angestiegen sind als die Vorsorgeverpflichtungen hat sich das Defizit für die SMI Firmen von ca. CHF 16 Mrd. auf ca. CHF 13 Mrd. verringert. Damit stieg der über alle SMI Gesellschaften aggregierte Deckungsgrad der konzernweiten Vorsorgeverpflichtungen von 89.4 % auf 91.4 %. Damit liegt der Deckungsgrad jedoch immer noch deutlich tiefer als per Ende 2007 als dieser Wert bei 98.9 % lag. Der durchschnittliche Deckungsgrad aller SMI Firmen hat sich im Jahr 2010 ebenfalls von 87.4 % auf 89.6 % verbessert. Innerhalb der SMI Gesellschaften weisen Syngenta (99.9 %), ABB (96.5 %) und Credit Suisse (96.1 %) den höchsten Deckungsgrad aus. Die tiefste Deckung weisen Transocean (71.4 %), Roche (79.1 %) und Holcim (79.9 %) auf. Im Gegensatz zum Vorjahr verfügt somit kein Konzern im SMI über eine vollständige Deckung der Vorsorgeverpflichtungen.
Die Turbulenzen an den Finanzmärkten während den Sommermonaten haben auch substantielle Auswirkungen auf die Deckungssituation der in den Firmenbüchern zu bilanzierenden Vorsorgeverpflichtungen. Zum einen haben sich die Planvermögen durch die jüngsten Einbrüche an den Finanzmärkten negativ entwickelt und es sind entsprechende Verluste zu erwarten. Anstelle einer erwarteten Rendite auf den Vermögensanlagen von ca. 4.9 % verzeichnet eine Vielzahl von Vorsorgeplänen negative Renditen bis Ende August 2011 (z. B. Pictet BVG 2005 40 Plus Index: – 4.8%).
Eine Senkung des Diskontsatzes führt zu einer Zunahme der Verpflichtungen. Es ist somit davon auszugehen, dass sich der aggregierte Deckungsgrad über alle SLI Gesellschaften auf ca. 80 % per Ende August 2011 reduziert hat. Der Deckungsgrad der SLI Gesellschaften ist somit schätzungsweise noch tiefer als per Ende 2007 im Anschluss an die Finanzkrise.
Towers Watson Hot Topics: Pension Outlook Year-End 2011
Due to financial markets and demographic assumption changes, year-end 2011 is likely to be a painful one for Swiss companies reporting their pension obligations under International Financial Reporting Standards. The median discount rate used by Swiss companies at the end of 2010 under IFRS was 2.75% according to Towers Watson’s 2011 Global Survey of Accounting Assumptions. If set today, pension discount rates would likely be in the range of 2.25% to 2.50%. This would indicate an increase in pension liabilities of some 3% to 6% compared with last year. Furthermore, due to new Swiss mortality tables (BVG2010) which are expected to be adopted by many companies for the first time at the year-end, liabilities could be further increased by around 5%.
The impact will vary by plan depending on the structure of the liabilities and the precise assumptions adopted. Asset returns have not kept pace with the rising liability values. According to the ASIP performance comparison carried out by Towers Watson, the median return for Swiss pension funds was marginally negative at -0.2% for the first half of this year. Returns in the third quarter are likely to have been significantly worse – for example the Pictet LPP 2005 40+ Index fell by around 4% over the quarter.
Thus, lower asset values and higher liabilities mean that companies should expect gaps between liabilities and assets to widen at year end, which will also likely result in increases to companies› pension expense in 2012. Towers Watson’s Swiss Pension Index for Switzerland, which tracks the funding ratio for a benchmark plan under international accounting standards, shows a fall from 98.4 at the end of June to 87.2 at the end of September (see Chart), solely due to the impacts of the discount rate and asset returns.
«Bahnhöfli» geht für 1,97 Mio. an die Raiffeisen PK
Beim Versteigerungs-Krimi um das Hotel Bahnhof in Frauenfeld geht der Romanshorner Unternehmer Beat Hirt leer aus: Die Raiffeisen Pensionskasse Genossenschaft treibt den Preis für das «Bahnhöfli» auf 1,97 Mio. Franken. Das Gebäude soll abgerissen und ein Neubau mit Wohnen und Gewerbe entstehen, schreibt die Thurgauer Zeitung. «Wir haben noch keine konkreten Pläne», sagt Beat Mäusli, Leiter Immobilien und Dienst der Raiffeisen Pensionskasse Genossenschaft im Anschluss auf die entsprechende Frage der TZ. Abbrechen und neu bauen sei aber ziemlich sicher. Es würden vermutlich Wohnungen, Büros und Gewerberäume entstehen und sicher kein Hochhaus. Es sei ihnen wichtig, das Areal zusammen mit der Gemeinde zu entwickeln. Der Preis von 1,97 Mio. Franken bewege sich an der oberen Grenze. Aber das ergebe trotzdem noch eine attraktive Rendite.
Griechenland vor Schuldenschnitt: Angst um Renten
Ein Schuldenschnitt in Griechenland gefährdet die Pensionskassen in dem Euro-Sorgenland und damit viele Renten. Aus Kreisen des Finanzministeriums hiess es, ein sogenannter "Haircut" werde nicht nur die Banken, sondern hauptsächlich die Rentenkassen des Landes treffen. Viele Rentenkassen sind stark in griechischen Staatsanleihen engagiert. "Die Rentenkassen müssen dringend abgesichert werden", sagte Savas Robolis, Chef des Arbeitsinstituts des grössten griechischen Gewerkschaftsverbandes GSEE, im griechischen Radio. Bei einem Schuldenschnitt von 50 Prozent müssten die Rentenkassen vom Staat unterstützt werden. Ohne eine Unterstützung müssten die Renten halbiert werden.
Technische Grundlagen VZ 2010: “der Schweizer Standard”
Die neuesten versicherungstechnischen Grundlagen für Pensionskassen VZ 2010 zeigen für den Zeitraum 2006-2011 eine Zunahme der Lebenserwartung. Diese hat bei 65- jährigen Männern im Vergleich zu den vor 5 Jahren publizierten Grundlagen VZ 2005 um 1.15 Jahre zugenommen (von 18.99 auf 20.14), bei 64-jährigen Frauen um 0.77 Jahre (von 23.02 auf 23.79). Die Invaliditätswahrscheinlichkeiten sind gegenüber den VZ 2005 sowohl bei den Männern als auch bei den Frauen deutlich gesunken. Nach Angabe von Christoph Furrer (Deprez Experten) im Ausmass von 30-40%, wobei der konkret beobachtete Rückgang noch deutlich grösser war, aber aus Gründen der Vorsicht nur teilweise übernommen wurde.
Die technischen Grundlagen VZ 2010 basieren auf dem Datenmaterial von insgesamt 21 Kassen öffentlich-rechtlicher Arbeitgeber (Bund, Kantone und Gemeinden). Sie setzen die im Jahr 1950 begonnene Reihe der VZ-Grundlagen fort. Bis und mit den VZ 1990 wurde fast ausschliesslich Datenmaterial der Pensionskasse Stadt Zürich verwendet. Aufgrund der nunmehr grossen beobachteten Bestände aus allen Regionen der Schweiz können die VZ 2010 als zuverlässig und sehr solide betrachtet werden. Die VZ 2010 lassen sich auch für Berechnungen bei Bilanzierungen nach internationalen Rechnungsstandards (wie IFRS / IAS 19 oder US-GAAP) einsetzen.
Neu ist bei den VZ 2010, dass die Generationentafeln auf der Basis von zwei unterschiedlichen Typen von wissenschaftlichen Modellen erstellt werden können. Es handelt sich dabei einerseits um das von Prof. Dr. Padrot Nolfi im Vorwort zu den VZ 1960 erläuterte Modell, andererseits um das in den VZ 2005 zu Grunde gelegte, kurz zuvor publizierte Modell von Dr. Jacques Menthonnex. Eine weitere Innovation der VZ 2010 besteht darin, dass nicht nur mit einem über alle Laufzeiten konstanten technischen Zinssatz, sondern auch mit einer Zinskurve gerechnet werden kann. Es lassen sich also je nach Laufzeit unterschiedliche Zinssätze zu Grunde legen. Auf diese Weise können mit den VZ 2010 auch Berechnungen analog zum Swiss Solvency Test (SST) durchgeführt werden.
Berechnet man mit den VZ 2010 die Umwandlungssätze, die aus versicherungstechnischer Sicht im Bundesgesetz über die berufliche Vorsorge (BVG) gelten müssten, dann erhält man unter Verwendung eines technischen Zinssatzes von 3.5% für das Jahr 2012 einen Umwandlungssatz von 6.17% für 65- jährige Männer und von 6.15% für 64-jährige Frauen.
Neben den VZ-Grundlagen bestehen damit heute nur noch die technischen Grundlagen „BVG“, die im Jahr 2000 erstmals hergestellt wurden und sich auf das Datenmaterial von vorwiegend privatrechtlichen Kassen abstützen. Die auf den Jahren 2005-2009 beruhende Ausgabe BVG 2010 ist vor rund einem Jahr publiziert worden. Die BVG 2010 haben das Modell und die Systematik der VZ 2005 vollständig übernommen. Die Pionierarbeit der Grundlagen VZ 2005 hinsichtlich Generationentafeln ist damit zu einer Art Schweizer Standard geworden, heisst es in der Mitteilung der Pensionskasse Zürich.
Mitteilung PK Zürich / Prospekt